jeudi 30 janvier 2020

Cours SINNO-4/10 innovation d'usage

 












 
 Qu'est ce que l'innovation d'usage :
 

 Première video  Créativité VS Innovation:

Créativité et Innovation -- Innover c'est pas compliqué Arnaud Groff, directeur d'Inovatech 3V, nous parle de la place de la créativité dans l'innovation. Un bon créatif est un bon poseur de problème ! 

Les 4 natures de l'innovation :

differentes nature d'innovation4.jpg  

Les 4 modèles mentaux qui bloquent l’innovation de rupture

Enregistré le lundi 25 octobre 2021.durée 6 min. 16

 
 

 

Les 6 types d'innovation :

6type dinnovation.png

 

Les 3 contextes d'innovation :
inno centree usager.jpg   

 

 

Deuxième vidéo : Conférence autour de l'open innovation :

Charles Leadbeater: The era of open innovation
http://www.ted.com/talks/charles_leadbeater_on_innovation/transcript?language=en#t-479450

 

Transcript of "The era of open innovation"
 
 
 
Pour finir, je vous invite à prendre le temps en parcourant cet exemple de cas dans cette typologie d'innovation et les 4 fiches détaillées:
Innovation d'usage
 
 
Pour aller plus loin

Ce document sur l'innovation centrée usager guideinnovation usager .pdf
 
 
Les discours politiques autour de l'innovation:


Quelques traces d'activités étudiants :                                                                                


Bonjour à tous !

J'ai trouvé les vidéos de cette semaine encore plus concrètes que celles des semaines passées, j'ai trouvé que les idées proposées et les exemples était plus représentatifs et plus parlant de ce qu'est l'innovation. Je trouve qu'avec des exemples on comprend mieux ce qu'est l’innovation plutôt que quand on essaie de la définir exactement. Après avoir regardes les 3 vidéos j'en ai retenu quelques idées.

Créativité et Innovation -- Innover c'est pas compliqué :La première vidéo est une vidéo où Arnaud Groff, directeur d’Inovatech 3V, est interrogé pour nous parler de l’innovation et de la créativité. Ce sont deux termes qui sont fréquemment confondus et pourtant ils ne reflètent pas la même idée. Selon lui, afin de définir le mieux possible ce qu’est l’innovation il faut en revenir à la racine latine « innovare » qui signifie « faire venir quelque de fécond dans l’ordre établit ». L’innovation se définit comme la fécondité et la création de la leur, faire venir quelque chose approprié, et la nouveauté. Dans la créativité il ne faut pas chercher une idée totalement nouvelle mais parfois voyager, prendre des idées et les adapter dans notre environnement.

Pour être innovant il faut savoir faire preuve de curiosité. La curiosité amène les innovateurs à sortir de leur zone de confort en quelque sorte, et à s’intéresser à d’autres choses déjà existantes pour s’en inspirer. Innover ne veut pas dire créer mais plutôt transformer ou améliorer l’existant. Notre environnement, la perception que nous avons de la réalité peut nous apporter des inspirations pour développer quelque chose sur ces fondations de différent. Bien sur comme le précise Arnaud Groff, il faut tout de même s’assurer que ce que l’on propose sera accepter dans notre environnement. En revanche, j’aimerais rebondir sur un aspect évoqué que je partage totalement, celui sur le fait que la France possède une vision technocentrée de l’innovation. La France a développé de nombreux centres de recherches technologiques, et s’assure de rester compétitive sur ce marché. Seulement je pense qu’en effet il y a un formatage de l‘esprit dans le sens où effectivement en France innovation rime avec technologie. La France se concentre sur le développement de machines, d’appareils toujours plus performants dans de nombreux domaines comme l’informatique, la biologie, l’agronomie… Mais je pense honnêtement que l’innovation n’est pas basée uniquement sur les nouvelles technologies. Elle pourrait très bien être concentrée sur la façon de penser, d’organiser, de développer, d’instruire… Les nouvelles technologies sont à la pointe de notre temps, elles sont utiles mais la façon de s’en servir et les raisons d’utilisations peuvent être à revoir. Je pense que part le biais des nouvelles technologies on oublie les capacités de l’homme et l’homme ne se fait plus assez confiance pour soumettre des idées qu’il juge intéressantes. Par exemple, Arnaud Groff nous dit que l’innovation contribue au développement culturel et économique du pays. Je pense qu’il n’a pas tort dans ce qu’il dit, seulement au lieu de développer de nouveaux systèmes pour attirer nous pouvons tout simplement repenser à la manière d’organiser, de gérer, de présenter et d’éveiller la curiosité chez le consommateur. La créativité participe bien au développement de l’innovation. Plus on est créatifs plus on éveille une certaine curiosité chez l’homme et cette curiosité l’amènerais à d’instruire, et pourquoi pas à son tour faire preuve de créativité en repensant la chose.

Charles Leadbeater: The era of open innovation :

En commençant son discours, Charles Leadbeater dit qu’il faut commencer par s’interroger sur le rôle exercé par les utilisateurs et les consommateurs. Pour illustrer son propos il prend l’exemple du V.T.T en disant que la théorie économique aurait laisser dire que l’inventeur du V.T.T était un gros fabriquant de V.T.T avec de nombreux chercheurs travaillant dans un gros laboratoire de R&D. Et c’est bien là le problème, ce n’est pas parce que de nombreux chercheurs, ingénieurs, réfléchissent et travaillent sur un produit qu’ils font preuve d’innovation. L’innovation doit avant tout répondre à des besoins et des attentes du consommateur. Cette idée parait finalement logique parce que innover un produit un service c’est bien mais il faut qu’il soit accepté sur le marché et auprès des consommateurs. Si un produit est développé mais que personne ne s’en intéresse c’est un cout colossal, du travail fournit dans le vent. Les consommateurs ont des demandes et l’innovation peut être u moyen de leur apporter satisfaction tout en étant créatif. Dans l’exemple du V.T.T il a été pensé et innové parce que le consommateur se plaignait des anciens vélos avec le guidon trop imposant et le poids du vélo trop lourd. Le V.T.T a alors été pensé sur le modèle des anciens vélos mais de manière à rectifier des plaintes des utilisateurs. Cette idée rejoint celle d’Arnaud Groff, pour être créatif et innover il ne faut pas chercher d’idée complétement nouvelles. Les grosses sociétés de production de vélos ont mis du temps avant de s’apercevoir que la production de V.T.T constituait un marché à elle seule. Cette idée me rappelle l’étude de cas sur le cas de Kodak. Lors de cette étude de cas on avait évoqué le fait que Kodak se disait que le monde du numérique ne représentait encore qu’un minuscule marché et qu’ils avaient le temps avant de se lancer dans ce domaine. Je trouve que pour les vélos c’est le même schéma qui se dessine, les grosses entreprises de production de vélos se sont dit que la production de V.T.T n’était encore que minuscule sur le marché et quand ils se sont aperçus de l’ampleur que prenait ces ventes ils se sont mis à penser à produire des V.T.T à leur tour. Mais c’est trop tard, l’idée est lancée, commercialisée, et ils ont du mal à rattraper le retard de développement. Certaines entreprises pensent qu’en ayant une taille imposante, et de nombreux chercheurs à son actif ils sont à l’abris mais c’est justement tout le contraire. Ce sont les entreprises qui innovent tout en étant créatif et en répondent à l’attente des utilisateurs qui remportent le marché. La créativité ne concerne pas des personnes spécifiques mais tout le monde, tout le monde est capable de penser une idée créative et de la développer.


 

jeudi 23 janvier 2020

Cours SINNO-3/10 étude du cas Kodak








 

Qu’est-ce que la Kodakisation ?

C’est très complexe, la transition numérique, la gestion de l'innovation dans ce contexte très mouvant. Derrière les applis qui vous facilitent la vie et votre site web gratuit en trois clics, se cachent une multitude de pièges, de complexités, ramifications, innovations perpétuelles et pièges à grande vitesse. 

L’objet de cette séance est d'analyse le cas complexe d'une grande société innovante dans son domaine, mais qui a raté le coche du numérique,un cas très concret :
l’entreprise Kodak 

  

Innovations en rafales. C’est en 1881 que George Eastman, petit gratte-papier dans une banque, abandonne son boulot pour créer sa société. Sans aucune formation de chimiste, ce passionné de photo met au point un procédé révolutionnaire de plaque sèche. Auparavant, les plaques photographiques étaient recouvertes d’une gélatine qui les rendait difficiles à transporter et à manipuler. Il fonde ainsi l’Eastman Dry Plate Company avec Henry Strong, un ami de la famille qui possède une petite fabrique de cravaches.

Mais plus que la plaque sèche, le premier coup de génie d’Eastman sera une innovation conçue en 1885 : le premier film souple transparent. Il est vendu dans un appareil baptisé The Detective – une boîte en bois en forme de cube – que les utilisateurs renvoient au siège de la société à Rochester, dans l’Etat de New York, une fois utilisé, pour développement. En retour, ils reçoivent leurs photos et la boîte chargée d’une nouvelle pellicule. Avec ce premier slogan mythique : «You press the button, we do the rest» (Vous appuyez sur le bouton, nous faisons le reste). Car George Eastman est aussi un génie du marketing. C’est encore lui qui invente le nom Kodak : en 1888, comprenant qu’Eastman Dry Plate Company n’est pas un intitulé percutant, il a l’idée de créer un mot court pouvant se prononcer dans toutes les langues. Pour lui, en effet, Kodak est appelé à rayonner dans le monde entier.

Brownie, Retinette & Cie. Même volonté du côté des produits. A l’époque où les objets manufacturés portent généralement des noms de code à base de chiffres ou de lettres, il décide de baptiser ses appareils et ses films de façon à les rendre sympathiques : il y aura le Brownie en 1900, le Vest Pocket en 1912, le film Kodachrome en 1935, l’appareil Retinette en 1949 et plus tard le fameux Instamatic… Des produits iconiques qui n’avaient rien à envier à nos iPhone et iPad.
De fait, Kodak est un peu l’Apple du début du siècle dernier. La société vend des millions d’appareils dans le monde, crée des filiales en Europe (en 1897 pour la France), ouvre des usines en Grande-Bretagne et en Australie… En 1907, Kodak compte déjà 5 000 salariés, chiffre qui passe à 20 000 en 1927. A la tête d’un quasi-monopole mondial sur la photo grand public, Kodak va alors se diversifier dans le cinéma. C’est le début de la bataille qui l’opposera au français Pathé, à l’époque leader mondial de la pellicule ciné avec 80% du marché.

Un bras de fer transatlantique s’engage entre les deux monstres du business que sont George Eastman et Charles Pathé. Avec des passes d’armes dignes d’un film de gangsters. Ainsi, quand Charles Pathé décide, par mesure de rétorsion, d’arrêter de se fournir chez Kodak pour produire lui-même le support de ses films… «Eastman est arrivé dans le bureau de Pathé et a posé un revolver sur la table devant les administrateurs éberlués, raconte François Sauteron. Mais Pathé n’a pas cédé et Eastman a coupé du jour au lendemain tout l’approvisionnement de son rival.» Pourtant, cette guerre ne dure pas. En 1927, Pathé cède aux avances d’Eastman et fusionne sa société avec celle du géant américain : ainsi naît Kodak-Pathé.
Un pied dans le cinéma, l’autre dans la photo, le succès de Kodak semble irrésistible. En 1932, à 78 ans, George Eastman, conscient qu’il a conquis la planète, se suicide en laissant ce message : «Mon travail est fait, pourquoi attendre ?»

Dans la seconde moitié du XXe siècle, les succès sont toujours là, nombreux (l’Instamatic et ses déclinaisons), et la rentabilité reste forte (de l’ordre de 20%). Mais la société de Rochester connaît ses premiers ratés. Ainsi en 1950, lorsque la direction refoule Edwin Land, un ingénieur américain venu présenter un appareil photo instantané. Land s’en va fonder sa compagnie… Polaroid. Devant le succès de celle-ci, Kodak produit ses propres appareils photo instantanés, les Polavision. Mais la société, attaquée pour contrefaçon, est condamnée en 1986 à verser 3 milliards de dollars à son rival.

 

 Kodak c'est 125 ans d'innovation :

 

"Our heritage is innovation, and our focus is imaging. We invented photographic film, creating the market for consumer photography more than a century ago ..."

 

Géant déboussolé. Refroidi par cet épisode, Kodak est alors atteint par une boulimie de rachats de start-up. Dans l’imprimerie, la pharmacie, la chimie, l’électronique… Des entreprises qu’il surpaye souvent. Le géant de Rochester devient un conglomérat fourre-tout. «On étouffait ces petites sociétés avec notre culture de grosse entreprise, notre “supermanagement”, nos contrôles qualité…» se souvient François Sauteron. Dans les années 1980, Kodak gagne encore énormément d’argent et atteint un pic avec 145 000 salariés. Mais, attaquée sur son cœur de métier par le japonais Fujifilm, qui avec ses prix agressifs et ses innovations futées (l’appareil photo jetable) réussit à prendre plus de 10% du marché américain, l’entreprise comprend qu’elle doit passer au numérique. Sans savoir comment. Elle débauche en 1992 le PDG de Motorola, George Fisher, pour amorcer la transformation. Sous son impulsion, la société sort un graveur de CD, développe pour Apple le QuickTake (considéré comme le premier appareil photo numérique grand public) et lance en 1996 un modèle hybride de numérique avec cartouche baptisé Advantix. Trois flops.

«Ils avaient imaginé un produit numérique mais avec un consommable, car c’est ce qui faisait vivre la société», explique Claude Desbrugères, directeur général d’Eastman Kodak France. Dans les années 2000, la chute s’accélère et elle est violente. La société est surprise par la vitesse de pénétration du numérique. Et sa gamme dédiée, EasyShare, finalement lancée en 2001, n’y change rien. Les nouveaux dieux de la photo sont japonais et se nomment Canon, Nikon, Sony et Panasonic.
Asphyxiée par une dette de 7 milliards de dollars, la société, qui a tenté une diversification tardive vers les services aux entreprises (impression, industrie graphique…), doit demander en 2012 la protection du chapitre 11 de la loi américaine des faillites. L’empire est démantelé, l’activité photo arrêtée, la licence de marque cédée à une société chinoise. KPP, le fonds de pension des retraités britanniques de Kodak, reprend lui l’activité d’imagerie et crée Kodak Alaris. En septembre 2013, Eastman Kodak sort du régime des faillites. Le géant d’antan, réduit à 8 500 salariés, s’est spécialisé dans l’impression sur ­papier pour les entreprises. Sur papier à l’heure de l’écran roi ? L’histoire aurait-elle le mauvais goût de se répéter ?

 

 

Les etapes marquantes :

1881 : George Eastman fonde l’Eastman Dry Plate Company, qui vend les premiers films souples de photo et deviendra Kodak en 1888.
1898 : Kodak invente le Folding Pocket, appareil de poche pliant, et le négatif 57 x 82 mm, la norme des décennies à venir.
1929 : La société sort sa première pellicule cinématographique, destinée aux films sonores. C’est le début de la fin pour le cinéma muet.
1935 : Le film Kodachrome est créé. C’est le premier film couleur amateur à rencontrer un succès commercial.
1957 : Lancement des Brownie Starmatic. La gamme comptera sept modèles vendus à plus de 10 millions d’exemplaires en cinq ans.
1963 : Apparition des Instamatic, appareils photo dont la pellicule tient dans une cartouche. Kodak en fabriquera plus de 50 millions jusqu’en 1970.
1975 : Kodak invente le premier appareil photo numérique mais ne le commercialise pas par peur de tuer le marché de la pellicule qu’il domine.
1976, Kodak est en situation de quasi-monopole.
1991, Kodak introduit le premier appareil photo numérique
Jusqu’en 1990, Kodak est consacrée comme l’une des marques les plus valorisées au monde (un peu comme Facebook ou Apple aujourd’hui).
En 2000, année des Jeux Olympiques de Sydney, dont Kodak est l’un des sponsors principaux, l’entreprise doit décider quel produit mettre en avant pour l’événement :
le film argentique, ou le numérique ? Finalement, Kodak optera pour l’argentique, avec une petite place pour le numérique.
A partir de 2003, c’est avec des téléphones plus qu’avec des appareils photos que les gens commencent à prendre leurs photos, tendance qui explosera avec l’introduction de l’iPhone en 2007.
2005 : Virage tardif dans le numérique avec le lancement de la gamme d’appareils EasyShare
2012 Dépôt de bilan de Kodak en .
2013 : Un an après avoir déposé son bilan et fermé 13 usines, Kodak repart avec 8 500 salariés.

http://www.rbj.net/!userfiles/image/Kodakcharts1982-2010.jpg

 

Il est possible d’avancer plusieurs explications possibles à l’échec de Kodak :

 

Kodak n’aurait tout simplement pas vu venir la révolution numérique ?

  • Ce n’est pas le cas : c’est en effet Kodak qui a inventé la photo numérique en 1975.

La R&D de Kodak a bien travaillé sur la photo numérique, mais n’a pas réussi à la commercialiser ?

  • Là encore ce n’est pas le cas. Kodak a introduit un excellent appareil photo numérique sur le marché dès 1991 et est devenu un acteur de ce marché, même si sa part de marché est toujours restée relativement faible.

Un manque de temps, l’innovation allant trop vite ?

  • Cela ne tient pas non plus : entre l’invention en 1975 et le décollage du marché à la fin des années 90, il s’écoule au moins quinze ans.

Un manque de vision du management ? 

  • Loin de là. Dès 1981, la direction de Kodak n’ignore plus rien de la perspective de son marché.

Un manque d’expertise technique empêchant Kodak de basculer vers le numérique ?

  • Au contraire, Kodak était très active dans le domaine et est à l’origine de très nombreux brevets, source de valeur de l’entreprise. Kodak n’est pas mort d’avoir ignoré la révolution numérique, ni d’avoir été incapable d’y prendre une part active ! 

 

https://www.youtube.com/watch?v=Nj4fIM-YT0M

http://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=29007

 

 

Alors qu’elle est la vraie raison de l’échec ?

 

https://www.youtube.com/watch?v=dqwAZKrc6vw

 

 

jeudi 16 janvier 2020

Cours SINNO-2/10 l'innovation a toute une histoire!

 













 


 

 Donnez votre avis et trouver des exemples sur le forum : Invention : éternel recommencement
(
si des soucis d'acces au forum se renouvellent mettre vos exemples dans les commentaire ci dessous)

  

 Analyses de données
http://www.ted.com/talks/hans_rosling_at_state

Hans Rosling analyse de statistique

La machine à laver

http://www.ted.com/talks/hans_rosling_and_the_magic_washing_machine#t-290123

Hans Rosling La machine à Laver

 

Michel Serres 40 ans de l'INRIA

Michel Serres - Les nouvelles technologies :
révolution culturelle et cognitive


Michel Serres - Les nouvelles technologies : révolution culturelle et cognitive
Conférence de Michel Serres sur les nouvelles technologies lors du 40è anniversaire de l'INRIA en 2007.
Prise de note :  Michel Serres 40 ans INRIA

 

 

David Encaoua 

Quelles innovations majeures ont marqué l'histoire ?

https://youtu.be/xySV_ryCdZs

 
 Bonus
 
Innovation / Progrès : 
Etienne Klein 
Etienne Klein : innovation et progrès Depuis quelques années , la notion d’« innovation » a remplacé celle de « progrès ».
Physicien et philosophe , le Centralien Etienne Klein
 
 
Quelle société demain?
Cette conférence illustre le double lien qui existe entre d’une part, la direction des innovations, en particulier des technologies numériques, et d’autre part, les performances socio-économiques qui résultent de ces innovations. Les technologies numériques, tout à la fois, améliorent nos conditions de vie et fragilisent les conditions de la vie en société (perte de contrôle humain, peur de l’utilisation incontrôlée d’informations privées, sentiment que ces progrès détruisent plus d’emplois qu’ils n’en créent).
http://www.museedesconfluences.fr/it/node/1421
Innovation et société : menaces et perspectives des technologies numériques | Musée des Confluences



Quelques traces d'activités étudiants :                                                                                

Bonjour, cette photo a été prise après la victoire du Bresil face à la tchecoslovaquie en finale de la coupe du monde de 1962. On apercoit,en dessous du joueur bresilien Garrincha ( joueur du tournoi),une personne qui prends une photo avec un appareil qui fait penser à un telephone portable ( pourtant cree en 1973). Le "premier" telephone avec un appareil photo à lui été commercialisé pour la première fois en novembre 2000.

 



On peut voir, au centre de cette photo, un homme semble tenir un téléphone portable (ou pas). Cette photographie date de 1943, elle a été prise au centre-ville de la capitale Islandaise, Reykjavik. Cette photo prise dans un contexte de guerre, où le seul moyen de communication existant étant la radio, l'hypothèse d'avoir un téléphone portable à cette époque semble mystérieuse.



Ici sur cette photo on voit un homme qui ne ressemble a personne et qui a l'air bien l'air habillé du style d'aujourd'hui qu'un style des années 40 . On voit aussi qu'il porte un genre d'appareil photo qui semble être un réflex numérique, une invention qui ne sera créé que 40 ans plus tard.

Pour ma part je n'y crois pas c'est juste de simples coïncidence ( rien ne prouve que se qu'il tien à la main est un appareil photo )  auquel notre cerveau nous montre se qu'on aimerait voir ( que certains aimerai voir plutôt).

Source : http://messagesdelanature.ek.la/photos-au-dela-du-temps-p557806