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lundi 10 octobre 2022

Augmenter l'expérience utilisateur dans l'enseignement supérieur

 
On commence à avoir un peu de recul  sur ce que c'est passé au niveau des formations dans nos établissements d'enseignement supérieur, autour des différentes phases de confinement, entraînant une alternance de phases d'enseignement à distance avec des phases de retour plus ou moins massifs sur les campus. 

Le constat assez unanime et partagé (1) c'est que l’enchaînement de ces  événements a permis de faire bouger les lignes sur le fait qu'on puisse enseigner autrement. Et donc dans nos institutions cela a eu un impact fort sur :
- les équipements matériels (système de captation notamment),
- les solutions logicielles comme Teams, zoom, BBB...
- les budgets alloués,
- les mentalités (2), parfois (trop rarement) sur le nombre de personnel accompagnant ces mutations.
-et surtout ce qui est plus intéressant, au delà des outils, l'autre impact observé, c'est la montée en charge des usages et l'implication de population d'enseignant plus ou moins éloignés de l'enseignement numérique.
 Généralement entre 10 et 30% des enseignants utilisaient les services numériques en ligne de leur université pour l'enseignement, on est passé à plus de 90%.

mercredi 18 mai 2022

La flotte des robots de téléprésence Polynésiens s'agrandie!

 


17 mai 2022 6 robots beam de téléprésence sont arrivés sur le territoire. Ils viennent rejoindre celui déja présent depuis 2018. Ces robots seront déployés sur les 6 campus de l'UPF : 5 campus connectés  et un sur le campus d'Outumaoro à Punaauia
 


 Cela demande un peu de logistique pour faire arriver tout ce petit monde ici en Polynésie :

-Les 6 Robots emballés sur palette avant leur départ de France :

vendredi 1 avril 2022

Campus connectés : le projet Archipels connectés



J'ai participé à l'élaboration et à la mise en place du projet Archipel connecté. Ce projet s'inscrit dans le plan plus large des campus connectés financé par le PIA.
Cette déclinaison polynésienne porte l’ambition d’offrir une solution adaptée pour implanter 5 campus connectés au sein de 5 îles distantes (1 par archipel) répondant ainsi aux contraintes insulaires pour proposer à la  rentrée 2021/2022 pour le premier projet, et dès la rentrée suivante, 2022/2023,  des campus connectés maillant les archipels et les îles
 : Ile sous le vent (Raiatea), Iles du Vent (Tahiti-presqu’île), Marquises (Nuku Hiva), Tuamotu-Gambier (Rangiroa), Australes (Tubuai).





J'ai présenté ce projet lors du séminaire hybridation de janvier 2022


La stratégie de maillage territorial par le numérique sera ainsi complétée d’une offre de service d’accès à l’enseignement supérieur. 

Voici une esquisse 3D de l'aménagements envisagé sur le premier campus


vendredi 25 février 2022

Les robots de téléprésence: quels usages en pédagogie?

 



A l'occasion du 29 eme webinaire Pour la communauté des talents pédagogique on m'a interrogé de l'intérêt de robot de télépresence pour les usages pédagogiques.
Et voici le support associé:






MAJ 04/01/2023                              

Exemple d'usage en école primaire
https://twitter.com/JdTwittclasses/status/1610531599476576256

mercredi 1 novembre 2017

Robot Lycéen Une expérimentation de téléprésence mobile pour des élèves empêchés

 

source https://twitter.com/didac2b/status/919185804290912257


J'ai pu participer au  projet « Robot lycéen », conduit par la Région Auvergne - Rhône-Alpes, est l’une des premières expérimentations dans le monde d’une solution de téléprésence mobile mise au service d’élèves absents de l’établissement pour raisons médicales. Le projet s'est terminé en décembre 2016 mais les résultats sont d’ores et déjà probants et démontrent des bénéfices majeurs pour l’élève, mais aussi des évolutions positives pour la classe et parfois l’établissement.


Un projet partenarial autour d’une démarche d’innovation technologique en milieu scolaire

Le Conseil régional Auvergne-Rhône-Alpes a cherché courant 2013 à identifier des applications et usages possibles en matière de robotique de service. Après une première phase de co-construction du projet par les usages conduite par la Cité du Design de Saint-Etienne dans le cadre de sa démarche LUPI (Laboratoire des usages et pratiques innovantes), il a été décidé de mettre à disposition de quelques lycées des robots de téléprésence mobile, et d’en cibler l’usage sur des élèves empêchés, c’est-à-dire absents de l’établissement pour une période relativement longue en raison de problèmes de santé.

Le projet robot lycéen a débuté en janvier 2014 et l’expérimentation opérationnelle des robots de la rentrée 2014 et s'est terminée en décembre 2016. Elle aura été une première en France et en Europe. En effet, les possibilités offertes jusque-là aux élèves empêchés pour des absences de courte à moyenne durée étaient soit de se procurer les cours et de les étudier seuls à leur domicile ; soit dans certains cas de se voir proposés des cours à domicile.
https://www.latribune.fr/regions/rhone-alpes/20140122trib000811211/qb-le-robot-qui-evite-aux-lyceens-malades-ou-accidentes-de-secher-les-cours.html


Avec le robot de téléprésence, les élèves expérimentateurs ont pu depuis leur domicile, pendant leur convalescence, assister en temps réel aux cours qui se déroulaient dans leur lycée, aux côtés de leurs camarades, et y participer en étant vus, entendus et en prenant la parole. L’utilisation du robot leur donnait également la possibilité de se déplacer de façon quasi autonome dans les salles de classe et les couloirs de l’établissement, ce qui constitue une différence majeure avec les solutions non mobiles de visioconférence qui peuvent exister par ailleurs.

Face à l’innovation technologique majeure que représentaient les débuts de la téléprésence mobile en 2014, la Région Auvergne-Rhône-Alpes s’est fixée, dans le cadre de cette expérimentation, trois objectifs principaux :

  • tester l’usage et analyser les apports de la robotique de téléprésence dans l’éducation, et plus particulièrement auprès des lycéens ;
  • répondre à un besoin d’accompagnement d’élèves temporairement éloignés de l’école en leur permettant de participer aux cours et à la vie de leur classe à distance
  • impulser et accompagner le développement d’une filière économique émergente et prometteuse en région Auvergne-Rhône-Alpes.


Pour conduire le projet et faciliter sa mise en œuvre dans les lycées, la Région s’est entourée de plusieurs partenaires. Il s’agissait de combiner un éventail de compétences, à la fois sur le plan technique et en matière d’accompagnement socio-organisationnel, et d’être en mesure de tirer des conclusions solides de cette expérimentation.

Le service Numérique de la Direction des Politiques Territoriales de la Région Auvergne-Rhône-Alpes a initié et piloté le projet. L’expérimentation a été conduite, suite à un appel d’offres, par un groupement de partenaires constitué dans une logique de complémentarité des rôles et des compétences : 

  • L’entreprise AWABOT (société lyonnaise de robotique) chargée de la fourniture et de la maintenance des robots, et de la coordination technique du projet ;


  • Le centre ICAP (Innovation, Conception et Accompagnement pour la Pédagogie) de l’Université Lyon 1, chargé de l’hébergement de la solution, de la communication projet, de l’appui à la création d’outils de formation ; 
  • Le Learning Lab de l’Ecole Centrale de Lyon, chargé de l’accompagnement général du projet (notamment accompagnement humain des lycées et formation des utilisateurs) ;
  • L’Institut Français de l’Education (Ifé - ENS de Lyon), chargé du suivi et de l’analyse des usages, ainsi que de l’appui à l’implantation de l’expérimentation dans les lycées ; 
  • Le laboratoire ECP (Education, Culture, Politiques) de l’université Lyon 2 a été associé à l’équipe initiale en cours d’expérimentation, en vue d’approfondir l’analyse des usages et des impacts du robot de téléprésence sur les pratiques professionnelles des enseignants. 


Des robots de type « QB » ont été installé dans trois lycées pilotes en septembre 2014 : le LEGT La Martinière - Montplaisir à Lyon ; le LEGT Jean-Michel Carriat à Bourg-en-Bresse ; le LEG Claude Fauriel à Saint-Etienne. Un quatrième robot a été mis à disposition de l’Unité Soins Etude (USE) de l’hôpital de La Tronche en mai 2015, en vue d’une utilisation par des élèves hospitalisés, puis a été transféré en aout 2016 à la Cité scolaire Elie Vignal de Lyon, accueillant des élèves présentant d’importants problèmes de santé et nécessitant une scolarité adaptée. 


Un accueil contrasté dans les établissements scolaires et une mise en œuvre parfois difficile sur le plan technique mais une appropriation progressive

L’appropriation du robot lycéen et son utilisation dans l’établissement a varié en fonction de deux paramètres. D’une part la question des conditions matérielles et techniques d’implantation (qualité du réseau wifi, accessibilité handicapés pour que le robot puisse circuler dans les locaux). Et d’autre part la question de l’acceptabilité sociale par le corps enseignant : une partie d’entre eux ont en effet exprimé des réticences fortes à l’égard des robots, vus comme des machines impersonnelles menaçant l’enseignant dans sa fonction et risquant de déshumaniser la relation éducative entre élèves et professeurs. Ces enseignants craignaient notamment une atteinte à « l’intimité » qui existe au sein d’une classe entre le professeur et les élèves. Une autre partie des enseignants s’est néanmoins immédiatement portée volontaire, montrant de l’enthousiasme pour le projet.
Afin de faciliter l’implantation du robot et de lever ces réticences, plusieurs mesures ont été rapidement mises en place : signatures par les élèves, leurs parents et les établissements eux-mêmes de chartes d’utilisation ; garantie donnée aux enseignants qu’il n’y avait aucune possibilité de captation vidéo (et donc potentiellement de diffusion sur internet) ; accueil du robot dans le classe sur la base du volontariat des enseignants.
Sur les deux premières années d’expérimentation, ce sont 13 élèves qui ont bénéficié de ce robot dans le cadre d’absence allant d’une semaine à trois mois. Toujours utilisé dans le cadre d’une convalescence faisant suite à une maladie ou un accident, ce robot a été testé par des élèves issus de toutes les classes de la seconde jusqu’au BTS, présentent des profils social et scolaire variés.

Des bénéfices importants en termes de persévérance scolaire et de socialisation

Une enquête de suivi par questionnaire et par entretien a permis d’analyser le développement des usages de ce robot lycéen et d’en identifier les bénéfices et les inconvénients. Cette étude fait apparaitre une très forte convergence d’avis entre élèves expérimentateurs, enseignants et élèves des classes expérimentatrices. Les principaux bénéfices de la téléprésence correspondent à la continuité des apprentissages et au maintien de la socialisation lycéenne. Un élève expérimentateur explique que, pour lui, « c’est un outil merveilleux, cela m’a permis de sauver le temps passé à la maison, j’ai la sensation de n’avoir perdu que 20% des cours ». Une autre que « sans le robot, cela aurait été très difficile et très fatigant de rattraper l’intégralité de mes trois semaines d’absence ». Le maintien du contact avec les camarades et les enseignants est également vu comme une valeur ajoutée très importante, surtout pour des adolescents. Elle est placée en tête des bénéfices par les enseignants (80%) et en seconde place par les élèves.

La présence du robot lycéen est aussi considérée comme ayant un impact positif sur la solidarité entre les élèves et dans une moindre mesure sur le climat de la classe. Certains enseignants et personnels de direction interrogés confirment une tendance au développement de l’altruisme et la découverte des vertus du bénévolat chez quelques élèves qui se sont proposés comme élèves référents.
La dimension innovante du robot lycéen est enfin fortement soulignée : 80 à 90% des acteurs interrogés pointent comme bénéfice de l’expérimentation le fait de participer à une innovation, d’être sensibilisé aux innovations technologiques du monde de demain et d’appartenir à un lycée de pointe.

Seuls deux bémols apparaissent suite à cette l’expérimentation. D’une part, si la téléprésence ne modifie pas foncièrement la relation de l’élève téléprésent avec ses camarades et ses enseignants, elle tend à diminuer les interactions. Mais il est à ce stade difficile de savoir si c’est la téléprésence en elle-même ou les conditions d’utilisation du robot (bugs, difficultés de connexion, ecran trop petit…) qui minore dans certains cas les interactions. D’autre part, l’absence de couverture wifi complète dans les lycées empêche le robot de fonctionner et de circuler de manière réellement satisfaisante, cantonnant encore trop souvent le robot à quelques salles de classe et empêchant l’élève utilisateur de participer à tous les moments de la vie de sa classe.
Au final, on observe un niveau très élevé de satisfaction chez les élèves expérimentateurs, au sein de leur classe et chez les enseignants. Les bénéfices sont considérés comme nombreux et tangibles et les réserves émises portent non pas sur la téléprésence en elle-même mais sur les difficultés liées au fonctionnement du robot.

mercredi 4 janvier 2017

Journée Robots de téléprésence en milieu scolaire 13 février 2017 - IFÉ-ENS de Lyon




Robots de téléprésence en milieu scolaire :

usages, enjeux et perspectives de développement
Séminaire de clôture de l’expérimentation « Robot lycéen en Auvergne Rhône-Alpes »
13 février 2017 - IFÉ-ENS de Lyon
Le projet « Robot lycéen » a été conduit par le Conseil régional Auvergne - Rhône-Alpes de janvier 2014 à décembre 2016. La mise à disposition de robots de téléprésence dans trois lycées pilotes et deux établissements d’enseignement spécialisé a constitué une première en France et en Europe. En effet, les possibilités offertes aux élèves empêchés de se rendre en cours pour des absences de courte à moyenne durée étaient jusque-là soit de se procurer les cours et de les étudier seuls à leur domicile ; soit dans certains cas de bénéficier de cours à domicile (dispositif SAPAD, service d’assistance pédagogique à domicile). Avec ces robots de téléprésence, les élèves expérimentateurs ont pu depuis leur domicile, pendant leur convalescence, assister en temps réel aux cours qui se déroulaient dans leur lycée, aux côtés de leurs camarades, en étant vus, entendus et en prenant la parole.
Un dispositif de suivi et d’analyse des usages a été mis en place tout au long du projet, qui permet aujourd’hui de présenter des résultats tangibles et de proposer une série de recommandations pour l’implantation et le déploiement de ce type d’équipement en milieu scolaire.
Par ailleurs, l’utilisation de la téléprésence mobile en éducation commence à se développer, notamment dans l’enseignement supérieur, au sein de SAPAD et dans des collèges. Au-delà des élèves empêchés, de nombreux usages paraissent dignes d’intérêt : pour la gestion des transitions entre niveaux d’enseignement, pour l’aide à l’orientation, pour la découverte culturelle et artistique, pour faciliter le travail collaboratif des enseignants…
Il s'agit dès lors de réfléchir à partir de ce premier retour d’expérience à la meilleure façon d'intégrer la robotique de téléprésence au sein de l'éducation. Quels usages pour la robotique de téléprésence mobile dans la vie d'un établissement scolaire ? Comment l'intégrer aux systèmes existants (ENT, logiciels, réseaux...) ? Quelles limites et quels garde-fous ?
Pour répondre à ces questions, l'Institut français de l'Éducation (IFÉ – ENS de Lyon) propose une journée de séminaire de retour d’expérience entre les équipes ayant participé à ce projet, des chercheurs et des territoires et organisations développant à leur tour des expériences d’utilisation de la téléprésence mobile.
Cette journée poursuit trois principaux objectifs :
1 - À l’issue de l’expérimentation rhônalpine, partager avec les acteurs du projet les résultats et les recommandations pour la poursuite autonome des usages
2 - Mettre en perspective le bilan de ce projet avec d’autres expériences d’utilisation de la téléprésence mobile en milieu scolaire, universitaire ou hospitalier
3 - Identifier les perspectives de développement des usages et des partenariats, en lien avec les travaux confiés par le ministère de l’Éducation nationale à l’IFÉ sur les objets connectés et les nouveaux espaces d’apprentissage.
La matinée sera consacrée au partage des résultats du projet « Robot lycéen » et à l’identification des bonnes pratiques favorisant l’implantation de ce type d’équipement en établissement.
L’après-midi sera consacrée à un élargissement des analyses à l’échelle d’autres territoires, vis-à-vis d’autres usages développés avec ces robots et à l’identification des enjeux et des perspectives d’usage dans les années qui viennent.

Lundi 13 février Matin : Résultats et enseignements de l’expérimentation Robot lycéen
8h45 - 9h00 Accueil des participants 
9h00 - 9h15 Introduction
9h15 - 9h30

L’expérimentation « Robot lycéen en Auvergne – Rhône-Alpes » : origine et déroulement
Conseil régional, Awabot
9h30 - 10h30

Les résultats : bénéfices et inconvénients pour les élèves et les établissements expérimentateurs
IFÉ – ENS de Lyon
10h30 - 10h40 Pause
10h40 - 11h40



Le vécu de la téléprésence mobile pour la classe et les enseignants, les impacts pédagogiques
ECP Lyon 2, IFÉ – ENS de Lyon

Table-ronde : « la téléprésence mobile pour les élèves empêchés : quelle cohérence pédagogique et quelle articulation avec le SAPAD ? »
Chefs d’établissement et enseignants des lycées expérimentateurs
11h40 - 12h30 Les conditions d’implantation et de développement des usages de la téléprésence mobile pour des élèves empêchés en lycée
Awabot, IFÉ – ENS de Lyon
Lundi 13 février Après-midi : Usages actuels et émergents de la téléprésence scolaire et éducative, enjeux et perspectives de développement
14h00 - 14h30 État des lieux sur la robotique de téléprésence à usage éducatif dans le monde
ECP Lyon 2
14h30 - 15h00 Focus : La téléprésence scolaire et éducative en milieu hospitalier et au service de l’inclusion scolaire
Projet Vik-E IHOP Lyon, SAPAD 71, SAPAD 40, Unité Soins Etudes Hôpital de La Tronche
15h00 - 15h30

Focus : La téléprésence mobile dans l’enseignement supérieur
Learning lab Ecole centrale Lyon, ICAP Lyon 1, IUT Pays de l’Adour, EM Lyon (sous réserve)
15h30 - 15h45 Pause
15h45 - 16h15

Les usages émergents : le projet du collège JP Rameau, les usages potentiels issus de l’expérimentation, la convergence avec les ed-tech
Collège JP Rameau, Cardie de Lyon et de Grenoble (sous réserve)
16h15 - 17h00

Table-ronde : les retombées économiques, partenariales et institutionnelles de l’expérimentation rhônalpine, les recommandations et les développements à venir
Conseil régional Auvergne Rhône-Alpes, Awabot, DAN de Lyon, DAN de Grenoble (sous réserve), Médecine scolaire du rectorat de Lyon (sous réserve)
17h00 - 17h30

Les perspectives éducatives, pédagogiques et économiques de la téléprésence mobile, les enjeux en termes de partenariat, formation et recherche
IFE ENS Lyon, DNE (sous réserve), Conseil régional (sous réserve)
17h30 Clôture

 Inscription gratuite et renseignements complémentaires auprès de :
Edwige Coureau-Falquerho edwige.coureau-falquerho@ens-lyon.fr

vendredi 26 février 2016

Assister à OL-OM en robot de téléprésence


Anthony et Marie, jeunes patients de l'Institut d'Hématologie et d'Oncologie Pédiatrique de Lyon, hospitalisés en chambre stérile, ont vécu le match OL-OM le 24 janvier 2016 au Parc OL comme s'ils y étaient, grâce à l'OL Fondation et aux robots de téléprésence mobile BEAM mis à disposition par Awabot.

Le 23 nous avons fait quelques test pendant un entrainement à huis clos



Et le lendemain ils ont pu assister à la victoire de l'OL en étant au stade de 19h à 23h!

Marie et Anthony au bord du terrain pour le match #olom en telepresence pic.twitter.com/iVDWX1CpC7

— Batier Christophe (@batier) January 24, 2016
Ils ont rencontré et échangé avec les joueurs de l'Olympique Lyonnais comme Alexandre Lacazette ou Mathieu Valbuena, avec Jean-Michel Aulas et également avec des personnalités telles que Basile Boli, Laurent Paganelli ou encore Jamel Debbouze. 

Revivez en images les moments forts de cette soirée.




mercredi 6 janvier 2016

Premiers bilans sur les usages des robots de telepresence à L'Université Lyon1



http://fr.slideshare.net/batier/usages-robots-beam-lyon1-decembre2015

Usages robots beam lyon1 decembre2015
Bilan des premiers usages de la téléprésence à l'Université Lyon1 Présenté au CEVU du 5 Janvier 2016

mercredi 17 juin 2015

La transhumance des robots lycéens!

Les cours sont en train de prendre fin dans les Lycées qui participent à l'expérimentation.
Et c'est donc le moment de revenir en révision et d'apporter quelques améliorations à tous nos robots Rhône Alpin!



Toute une liste d'amélioration a été recueillie sur les premières expérimentations menées. 
Et l'été c'est le moment ùu tous les robots sont disponible et ils migrent vers les ateliers d'Awaboot.

Une sorte de transhumance des temps modernes?





 


samedi 14 février 2015

Les élèves de Clair au New Brunwick visitent Awabot en téléprésence

 

Suite du billet précédent! 

On passe de la parole aux actes!
Et donc voici la première expérience de télé présence des élèves de Clair:
Ce 13 Février nous avons reçu avec Jeremie Koessler des élèves de l'école de Clair dans les locaux :

1-
Montage de résumant ce moment


2-Vue intégrale de la visite vécu coté Nouveau-Brunswick



3- Quelques twitts autour de ce moment



 


 Billet de blog rédigé sur le site de l'école
http://www.apprendrepourlavie.com/blogue/2015/02/14/une-premiere-experience-de-telepresence/


dimanche 8 juin 2014

Reportage d'ARTE sur les robots de téléprésence dont notre Robotlycéen

 

Qui n'a jamais rêvé de se trouver à plusieurs endroits à la fois ?
C'est maintenant possible grâce aux robots de télé-présence. 
Emission du 7 juin 2014 + d'info http://www.futuremag.fr




mercredi 29 mai 2013

 




Le service développement numérique de la Région Rhône Alpes s’est appuyé sur le laboratoire

des Usages et des pratiques innovantes (LUPI) installé à la cité du Design à Saint Etienne a travaillé en amont du projet sur les scénarios possibles.

La méthodologie du  LUPI a permis de mettre en exergue d'une part les fonctionnalités que la solution
robotique DOIT proposer et celles qu'elles PEUT proposer, ainsi que les services qui
peuvent ou doivent lui être associés.

Ces fonctionnalités et services se répartissent de la manière suivante :
• des services connexes, IMPONDERABLES, dont l'existence est nécessaire à la mise
en place cohérente de la solution robotique ; nous les avons nommés « besoins
transversaux (impondérables) » ;
• des fonctionnalités DEVANT être intégrées à la solution robotique proposée ; nous les
avons nommées « fonctionnalités requises a minima » ;
• des fonctionnalités « optionnelles » associées à des niveaux d'intervention variables
pour chacune au regard des besoins d'adaptabilité de la solution aux situations
rencontrées.
 
 Le LUPI a aussi permis de mettre en évidence la nécessité d'une bonne intégration du
robot non seulement auprès de l'élève déscolarisé, mais aussi de sa famille, du corps médical, de
sa classe, de l'équipe enseignante, du personnel et de la direction du lycée.